StopCovid maintenant renommé TousAntiCovid après quelques améliorations cosmétiques continue à montrer son inefficacité, malgré une autosatisfaction des autorités à son sujet.
Je n’aborderai pas ici les questions (légitimes) de la collecte de données, d’un fonctionnement centralisé ou pas, ou l’épineux sujet du bluetooth opérant plus ou moins bien avec ou sans les API d’Apple et Google, mais uniquement sur une approche chiffrée de son efficacité ou inefficacité globale (à l’échelle de l’ensemble de la population).
Oui, les téléchargements et activations ont repris depuis ce renommage et surtout depuis que nous sommes à nouveau submergés par la marée montante qui a remplacé la vague du printemps et ce confinement en version 2.0 …
La carte a évolué avec les règles du déconfinement progressif… 20km et 3h (voir en fin d’article)
Nous y sommes, second confinement et celui-ci a pour but de limiter la propagation du virus et le moyen pour y parvenir est de limiter nos allées et venues pour limiter nos contacts.
La règle des déplacements à moins de 1 km de notre domicile est donc de retour pour les balades (seuls ou avec nos amis à 4 pattes) ou l’activité sportive.
Premier point, il s’agit d’1 km de rayon (à vol d’oiseau donc), pas de 1 km de route ou de marche… donc 3.14 …
Voici une copie du document que j’ai rédigé et fourni à l’occasion de mon audition par le député Éric Bothorel dans le cadre de cette mission.
Le principe d’ouverture des données publiques et des codes sources s’est fait dans un premier temps sur la base de la loi de 1978 créant le droit d’accès aux documents administratifs ainsi que la Commission d’Accès aux Documents Administratifs (CADA). L’opendata a démarré en France à partir de cette base juridique.
La gratuité d’accès a ensuite été confirmée par la loi Valter de 2015 relative à la gratuité et aux modalités de la réutilisation des données publiques qui est une transposition tardive de la directive européenne 2013/37/UE (6 mois après la date limite). …
Depuis l’écriture initiale de cet article, trois jours se sont passés, le virus a doublé le nombre de personnes infectées et l’on est maintenant de l’ordre de 400.000 porteurs (voir calcul dans le corps de cet article), +100000 rien qu’aujourd’hui dimanche (sans prise en compte de l’effet vote non-mesurable à ce jour).
L’essentiel ne se sait pas porteur car n’a été en contact avec une personne à la maladie déclarée.
Si un confinement total était déclaré ce lundi (16 mars), on limiterai potentiellement le nombre de morts de l’ordre de 12000 (3% de mortalité sur les 400.000). Pourquoi 3%, parce que le nombre de lit de réanimation nécessaire pour limiter les morts sera déjà insuffisant. …
Que diriez vous d’un filesystem permettant, entre autres :
Tout cela est intégré aujourd’hui dans ZFS qui fête ses 14 ans, mais est encore bien peu connu des dev, devops et sysadmin… mais commence à faire son chemin, en particulier du côté d’Ubuntu.
Une des raisons est sûrement une adolescence tumultueuse.
Créé à l’origine par SUN Microsystems à partir de 2001, il est lancé officiellement au sein de Solaris en octobre 2005 et son code est ouvert… puis, malheureusement, les choses se gâtent.
Comme beaucoup de projets opensource, ZFS subit le rachat de SUN par Oracle en 2010 qui ne publie plus les mises à jour du code.
Comme ses cousins java, MySQL et OpenOffice, pour que ceci s’arrange et ne plus dépendre d’Oracle, il a fallut faire un fork, dans notre cas OpenZFS qui depuis a fait entrer ZFS dans l’age adulte. …
Cela fait quelques temps que l’idée d’archiver les données publiées en opendata me trotte dans la tête. Je trouve en effet formidable qu’un projet comme archive.org permette de revenir en arrière et de retrouver des contenus aujourd’hui indisponibles ou difficilement disponibles. Malheureusement, les jeux de données opendata, ne font pas partie de ce que cette archive du web conserve actuellement.
Ces données ouvertes sont disponibles, pourquoi les archiver ?
La stabilité de publication de certaines données est malheureusement assez aléatoire et surtout sans garantie dans le temps.
On a déjà vu des jeux de données ouverts ne plus être disponibles… ou difficile à retrouver. …
TL;DR: les données repackagées sont disponibles sur :
http://data.cquest.org/inpi_rncs/
Le RNCS c’est le Registre National du Commerce et des Sociétés et, d’après le site de l’INPI:
Il centralise et diffuse l’ensemble des informations sur les sociétés immatriculées en France, afin de les porter à la connaissance du public (consultation, copie, certificat).
Les commerçants et les personnes morales (sociétés, GIE…) sont immatriculés au Registre du commerce et des sociétés tenu localement par les greffiers des tribunaux de commerce.
Le Registre national du commerce et des sociétés (RNCS) est tenu par l’INPI, qui centralise et archive électroniquement des formalités déposées au greffe par les entreprises, à savoir…
En ce début d’été 2019, deux jeux de données importants ont enfin été publiés en opendata: les résultats des contrôles de la qualité de l’eau du robinet (base Sise-Eaux), les ventes et achats de pesticides (base BNV-D).
A ces deux jeux de données nouvellement ouverts, on peut ajouter un troisième fort utile, la BD Carthage (et prochaine BD Topage), le référentiel sur l’eau publié par eau-france.
Ces trois jeux de données permettent d’avoir une vue assez détaillée de notre alimentation en eau, de certains polluants (il n’y a malheureusement pas que les pesticides qui polluent nos eaux).
Oui, sujet sensible, si sensible que les données de la base BNV-D ont été publiées il y a un an, mais rapidement dépubliées sous la pression du Ministère de l’Agriculture, comme l’explique Mediapart. …
API, API, API… elles sont partout, on en met à toutes les sauces, c’est presque devenu une mode et un buzz-word indispensable à tout bon pitch digital.
Oui, les API c’est bien, c’est vraiment bien, par exemple pour permettre l’accès (contrôlé) à des données internes et à standardiser leur accès. C’est même indispensable dans certains cas, par exemple lorsque les données évoluent très vite, ou qu’elles sont trop volumineuses pour être accessibles en simple téléchargement, voire une combinaison des deux.
Par exemple des données sur la disponibilité ou l’état en temps réel du réseau de transport public sont difficiles à partager et à utiliser sans API. …
L’élection (électronique) du conseil d’administration de la fondation OSM s’ouvre…
C’est le moment de faire des choix !
Une analyse très détaillées, en anglais, des différentes professions de foi des candidats a été faite.
Pour ma part, mon vote se porte sur : Tobias, Joost et Guillaume
Pourquoi ce choix ?
L’absence de conflit d’intérêt et un bonne connaissance de la communauté dans sa diversité me semblent les principaux critères. Pour résumer, je me reconnais en tant que contributeur OSM dans ces trois personnes.
Pas d’autres noms pour moi soit parce que je ne me reconnais pas dans ces candidatures soit pour conflits d’intérêts avérés ou potentiels. …
About